Halle ronde de Givry - Du 26 août au 7 septembre 2025 - Exposition Jean-Charles Astorga, Jeanne Nemo, Danièle Jondeau : peintures - Corentin Sondaz, Isabelle Petit : photographies Urbex

 

De gauche à droite et de haut en bas : Corentin Sondaz, Jean-Charles Astorga,
Jeanne Nemo, Isabelle Petit, Danièle Jondeau
à la Halle ronde de Givry, du 26 août au 7 septembre 2025

Jean-Charles Astorga : Elle est déjà loin l'époque où il faisait son apprentissage chez Agnès Michelin à Nolay. Que de chemin parcouru ! Que de paysages immortalisés, dans tous les pays, sous toutes les lattitudes et toujours avec une palette en technicolor. Ses tableaux respirent le bonheur de peintre, de nous faire plaisir, avec une réelle générosité.

Corentin Sondaz : Passionné de photographie et d’architecture depuis son adolescence, il a débuté la photographie en parallèle de ses études dans le domaine médical. Ce n’est que récemment qu'il s'est spécialisé dans la photographie de lieux atypiques, délaissés ou à l’abandon (urbex). Il voyage ainsi en France, en Europe et plus récemment dans les anciennes républiques communistes.

Isabelle Petit : Issue des réseaux de la contre-culture qui l’ont menée à pratiquer différentes disciplines artistiques. Ses quelques années passées à Berlin ont influencé sa démarche qui tend à souligner la beauté de la déchéance urbaine. Mes images interrogent la place de l’homme sur terre.

Jeanne Nemo : Autodidacte de Saint-Marcel, elle a une longue pratique de l'huile dans les peintures figurative : portraits, nus, natures mortes, trompe-l'oeil. Puis elle a exploré les scènes de genre avec une palette résumée aux couleurs primaires. On l'a dite alors peintre des contrastes, ou des contraires ou encore peintre de la nuit. Aujourd'hui, elle s'intéresse au cubo-futurisme russe des années 1910. Quel parcours ! Et si on ajoute que Jeanne écrit et illustre des livres pour jeunes enfants on aura un portrait équilibré de cette artiste qui a exposé dans toute la France, en Allemagne et en Italie.

Danièle Jondeau : "Une toile, des pinceaux , des couleurs et j'oublie tous les tourments de la vie quotidienne... Comme dit le sage Zaho Wou-Ki, "Les toiles sont les pages des journeaux intimes".  Autodidacte, Daniele dessine depuis l'enfance et elle remercie la bonne fée qui s'est penchée sur son berceau en lui offrant cette passion."