Avec le G4, l'Office de tourisme vous propose une petite balade autour de Russilly. Le long du G4, il y a des points de vues, dans toutes les directions, un passage sur la crête de la chaume, de charmants sous-bois et par cette belle journée d'automne, les vignes dorées.
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Patrimoine, les archives départementales vous ouvre ses portes
Les archives départementales sont accessibles en ligne. Retrouvez vues cadastrales, recensements, état civil, inventaire du patrimoine sur http://www.archives71.fr/archives/arkotheque/cadastre/index.php...
Vous avez dit "Papinot" ? Pour sourire...
Le père Papinot a succédé à la cure du village de Touches (devenu Bourgneuf Val d'Or en 1897) au curé Augustin Vernay, qui y resta 44 ans.
Augustin Vernay appelait son successeur le curé " gamay" , Pourquoi ?
Réponse : parce que il n'était pas "pinot".
Portrait : Edmond Papinot, curé, architecte et géographe
Abbé Edmond PAPINOT (1860-1942)
Missionnaire au Japon 1886-1911 ; curé de Touches puis de Givry, 1913-1919 ; missionnaire à Hong Kong 1920-1927. Auteur du Dictionnaire d’Histoire et de Géographie du Japon (1906), Lauréat de l’Académie Française. A l'occasion du 150e anniversaire de sa naissance, René Jeannin-Naltet, nous propose ici la biographie de l'éminent missionnaire.
Edmond Papinot naquit à Chalon-sur-Saône le 8 novembre 1860. Ayant perdu successivement ses deux parents et sa grand-mère qui l’avait recueilli, avec ses deux sœurs ils furent alors reçus par une cousine, Marie Rinder, qui désormais, devait leur servir de mère. Il fit ses études primaires chez les Frères des Ecoles chrétiennes de Chalon. De là, il passa à l’Ecole nationale des Arts et Métiers d’Aix en Provence pour y suivre les cours pendant trois ans, jusqu’en 1879. Sa mère adoptive semblait attentive à sa vie religieuse puisque dans une lettre du 21 septembre 1885, elle écrit. « …J’avais si peur, dit-elle, qu’il perdît la foi dans ce mauvais établissement, que ma correspondance et toutes mes prières tendaient à une seule chose : le voir rester chrétien pratiquant... ».
Il entra, alors, au petit séminaire de Rimont en Saône-et-Loire pour y achever ses études secondaires classiques, et il en sortit en 1881 après avoir brillamment passé son baccalauréat ès sciences. La même année il entra au grand séminaire d’Autun.. Dès le début de ses études théologiques, Edmond Papinot exprima le désir de devenir missionnaire ; mais sa santé fort précaire, semblait être un empêchement à la réalisation de son projet. Son directeur, tout à fait disposé cependant à l’orienter vers les missions, hésitait ; le jeune séminariste avait le cœur malade, et de fréquents maux de tête l’obligeaient souvent à interrompre ses études.
Le médecin du séminaire des Missions-Étrangères, consulté, déclara que maux de tête et troubles cardiaques étaient causés uniquement par la vie sédentaire. Edmond Papinot était, à son avis, fait pour la vie au grand air ! Il pouvait donc entrer aux Missions-Étrangères. Le Supérieur, rassuré, accepta le séminariste qui entra diacre au séminaire le 19 septembre 1885. Un an après, le 26 septembre 1886, il fut ordonné prêtre. Le 1er décembre, il partait pour la Mission du Japon septentrional, comprenant alors la moitié nord du Japon.
Le poste éloigné de l’île de Sado fut le lieu où il débuta, mais il ne tarda pas à être rappelé à Tokyo où il travailla en second dans le district d’Asakusa et, plus tard, comme titulaire dans celui de Kanda. Les Missions du Japon étaient toutes de date récente et, à l’arrivée de M. l’abbé Papinot, elles ne comptaient encore que très peu d’édifices dignes du nom d’ « église ». En 1891 la Mission du Japon septentrional fut divisée en deux Vicariats, celui de Tokyo et celui de Hakodaté, qui furent élevés deux mois après, le 15 juin 1891, l’un au rang d’archidiocèse et l’autre au rang de diocèse. Edmond Papinot resta attaché à l’archidiocèse de Tokyo. Ses aptitudes naturelles et les connaissances qu’il avait acquises à l’Ecole des Arts et Métiers d’Aix trouvèrent ainsi leur emploi dans la construction de plusieurs églises gothiques admirées par la population. Bâtir en un style totalement inconnu des Japonais était très difficile. Ses principales réalisations furent les églises de Tokyo, Hakodaté, Kanda, (aujourd’hui une des paroisses de Tokyo), Yamaté (actuellement cathédrale du diocèse de Yokohama) et de Yokohama. Eprouvé par ses nombreuses activités, Edmond Papinot obtint, en 1905, d’être déchargé de la communauté chrétienne de Kanda pour se consacrer uniquement au poste moins pénible de Wakaba chô à Yokohama.
Edmond Papinot naquit à Chalon-sur-Saône le 8 novembre 1860. Ayant perdu successivement ses deux parents et sa grand-mère qui l’avait recueilli, avec ses deux sœurs ils furent alors reçus par une cousine, Marie Rinder, qui désormais, devait leur servir de mère. Il fit ses études primaires chez les Frères des Ecoles chrétiennes de Chalon. De là, il passa à l’Ecole nationale des Arts et Métiers d’Aix en Provence pour y suivre les cours pendant trois ans, jusqu’en 1879. Sa mère adoptive semblait attentive à sa vie religieuse puisque dans une lettre du 21 septembre 1885, elle écrit. « …J’avais si peur, dit-elle, qu’il perdît la foi dans ce mauvais établissement, que ma correspondance et toutes mes prières tendaient à une seule chose : le voir rester chrétien pratiquant... ».
Il entra, alors, au petit séminaire de Rimont en Saône-et-Loire pour y achever ses études secondaires classiques, et il en sortit en 1881 après avoir brillamment passé son baccalauréat ès sciences. La même année il entra au grand séminaire d’Autun.. Dès le début de ses études théologiques, Edmond Papinot exprima le désir de devenir missionnaire ; mais sa santé fort précaire, semblait être un empêchement à la réalisation de son projet. Son directeur, tout à fait disposé cependant à l’orienter vers les missions, hésitait ; le jeune séminariste avait le cœur malade, et de fréquents maux de tête l’obligeaient souvent à interrompre ses études.
Le médecin du séminaire des Missions-Étrangères, consulté, déclara que maux de tête et troubles cardiaques étaient causés uniquement par la vie sédentaire. Edmond Papinot était, à son avis, fait pour la vie au grand air ! Il pouvait donc entrer aux Missions-Étrangères. Le Supérieur, rassuré, accepta le séminariste qui entra diacre au séminaire le 19 septembre 1885. Un an après, le 26 septembre 1886, il fut ordonné prêtre. Le 1er décembre, il partait pour la Mission du Japon septentrional, comprenant alors la moitié nord du Japon.
Eglise d'Azabu à Tokyo, construite par E. Papinot en 1889 http://www.tokyo.catholic.jp/text/eng/churches/azabu.htm |
Découvrez ou redécouvrez le G2
Prendre le départ à "Vous êtes ici" |
Le "G2" est praticable par tous les temps. Prévoyez quand même de bonnes chaussures. Rangez votre pull dans un sac dans la montée et remettez-le lorsque vous êtes arrivés au sommet. Chaque couleur du ciel renouvelle l'intérêt de la balade. N'hésitez pas à découvrir ou redécouvrir le "G2". Sur le "G2", vous serez loin de l'agitation du monde... quelque part entre terre et ciel.
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Exposition de champignons à la Halle ronde
Récital de piano par Mathieu Picard
L'office de tourisme vend son copieur
Le copieur de l'office de tourisme est actuellement en vente sur le site du bon coin...
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CONCERT à LA BILLEBAUDE
Balade avec les ânes entre Orbize et vignes
Avant d'aller sur les chemins, il faut d'abord faire connaissance... |
Les Pinceaux d'or : remise des prix dans la bonne humeur
Halle ronde, dimanche 3 octobre : de nombreux petits peintres se sont rendus à la Halle ronde avec leurs parents pour la remise des prix.
La cérémonie s'est tenue en présence de Bernadette Clerget, 1ere adjointe au maire de Givry et de Joël Bon, président de l'UCAG. Les prix ont été remis par Amélie Meunier assistée de Cyril Roure, professeur d'art plastique au collège de Givry.
Les enfants ont été très sages et tous ont reçu une récompense.
L'après midi s'est terminé par le tirage de la tombola et par une "gaufres party" avec Nicole au gaufrier.
Les enfants ont été très sages et tous ont reçu une récompense.
L'après midi s'est terminé par le tirage de la tombola et par une "gaufres party" avec Nicole au gaufrier.
Concours les Pinceaux d'or : la remise des prix, c'est dimanche 3 octobre à partir de 15 h, à la Halle ronde
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