Femmes RegARTS en octobre : jusqu'au 25 octobre !

 

Tableau d’Artemisia et d’Orazio Gentileschi

Suzanne et les vieillards (Rome autour de 1610)

Artemisia avait 17 ans.

Aurait-elle peint son violeur, en haut à gauche ?


Femmes RegARTS est un puzzle à assembler selon votre guise...  Ce festival s'articule autour de l'Italie et d'Artemisia Gentileschi, femme peintre du XVIIe siècle.

Réservation obligatoire au 03 85 41 58 82 ou sur https://www.animation2c.fr/p/reservations.html
  • Dimanche 11 octobre à 16 h - Eglise Saint Pierre et Saint Paul - Concert de musique baroque par Tutti Arte - Entrée 10 € et gratuit pour les moins de 18 ans, nombre de places contingenté.

  • Jeudi 15 octobre à 20 h - Moulin Madame - La science galiléenne et ses conséquences par Julien Deliance- Entrée au chapeau + dégustation finale.

  • Mercredi 21 octobre à 19 h 30 - Restaurant du Guide de Marloux - Repas italien, 2e service + Lecture spectacle "Mariage inattendu" - Entrée 28 € par personne.

  • Jeudi 22 octobre à 20 h - Halle ronde - Si Artemisia m'était contée / Spectacle pictural et mouvant - On se croirait dans une série TV mais tout se passe au XVIIe siècle. Artemisia est une jeune fille qui ne fait rien comme les autres. Elle veut faire comme son papa, un métier d'homme : peindre. Elle sera une artiste précoce. Elle va se croire aimée, elle sera outragée... La mise en scène est de Anne Prost Cossio, avec la participation du Théâtre de Bacchus emmené par Elise Fouratier, sur une idée de Jean-Claude Dufourd - Entrée 10 €



Un partenariat A2c - Art Image, dans le cadre du festival Femmes RegARTS consacré à Artemisia Gentileschi, femme peintre romaine du XVIIe siècle.

Un, deux, trois. Trois artistes dont les parcours, au-delà d’un même lieu de formation, l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris, lieu de formation prestigieux, ont divergé : Caroline Cassel, Alice Lothon, Éric de Tarragon. Avec en arrière-fond, un hommage à peine voilé à Artemisia Gentileschi, peintre caravagesque de la première moitié du XVIIème siècle, égérie du baroque, féministe avant l’heure. Un hommage voulu en parallèle à cette exposition. 

Une, deux ou trois «Lucrèce» d’Artemisia Gentileschi accueillant le visiteur. Hommage à celle qui outragée se suicida avec un poignard qu’elle tenait caché plutôt que de survivre au déshonneur, devenant ainsi un exemplum. Un sujet qui fait aujourd’hui, tout comme hier, l’actualité, alors que la propre vie d’Artemisia Gentileschi, flétrie par son précepteur, Agostino Tassi, employé à cette époque avec Orazio Gentileschi, père d’Artemisia, à la réalisation des fresques des voûtes du Pavillon des Roses dans le palais Pallavicini Rospigliosi de Rome, conduira à un procès retentissant. Et pourquoi Lucrèce plutôt que Judith décapitant Holopherne, thème dans lequel Artemisia se surpassa ? Mais revenons à l’art d’aujourd’hui, à celui ici présenté, pour observer la violence des couleurs ou les détails cachés, c’est selon, entrevoir le sens de la peinture, les reflets d’une passion.

Exposition en accès libre, tous les jours, de 10 h 30 à 12 h 30 et de 15 h 30 à 18 h 30


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